vendredi 30 janvier 2015

La Banque centrale russe crée la surprise en baissant son taux directeur

"Le taux directeur passe à 15%, il avait été augmenté de 6,5 points à 17% en décembre lors du krach du rouble. L'institution veut atténuer la sévère récession attendue cette année en Russie."


Quand la politique monétaire joue aux montagnes russes... La Banque centrale de Russie a annoncé ce vendredi 30 janvier, et à la surprise générale, une baisse de son taux directeur.

L'institution a ainsi décidé de le baisser à 15%. En décembre dernier, il avait bondi de 7,5 points passant de 9,5 à 10,5 avant de s'envoler à 17% le 16 décembre pour sauver un rouble en plein krach. Pour rappel, le taux directeur était de 5,5% début 2014.

Cette décision a alimenté la baisse du rouble face à l'euro et au dollar. Vers 11h GMT, l'euro cotait 81,37 roubles, et le dollar s'échangeait 71,67 roubles. 

Lire la suite: La décision d'abaisser ce taux d'intérêt a été prise afin d'atténuer la récession qui a touché l'économie russe

La pub sur Internet dépassera la TV fin 2015

"Dopés par le mobile, les investissements publicitaires en ligne ont progressé de 4% à 2,89 milliards d’euros en France, quand ceux de la presse papier ont reculé de plus de 8%. Ils devraient excéder ceux de la télévision en fin d’année, selon l’étude Pwc pour le syndicat des régies Internet."

C'était prévisible mais cela reste historique : la publicité en ligne pèse désormais plus lourd en France que celle de la presse papier, quotidiens et magazines cumulés.

Cela s'est produit il y a deux ans aux Etats-Unis. En 2014, les investissements publicitaires en ligne ont progressé de 4% à 2,89 milliards d'euros dans l'Hexagone, selon l'observatoire e-Pub du Syndicat des régies Internet (SRI), réalisé par le cabinet PricewaterhouseCoopers (PwC), et dévoilé ce jeudi matin.

Dans le même temps, la publicité du "print", qui s'est élevée à 2,9 milliards d'euros en 2013, a reculé de 8,6% à fin septembre selon les chiffres de l'Institut de recherche et d'études publicitaires (IREP) : elle devrait donc avoisiner 2,1 milliards d'euros sur 2014. 

Lire la suite: « Le digital est devenu le deuxième média en France cette année, devant la presse : il représente 25% du marché, contre 24% estimé pour la presse et 27% pour la télévision »

jeudi 29 janvier 2015

#MonOeil «On ne pourra pas dire qu’on ne savait pas »

Revue de presse en partenariat avec Chabadda Magazine

l’actu vue par Alexandre Aufauvre, du 16 au 23 Janvier


Je profite des commémorations liées aux 70 ans de la Shoah et de la libération des camps en Allemagne pour rappeler à nos chers élus cette phrase que j’entends depuis tout petit, « On ne pourra pas dire qu’on ne savait pas ».

Malheureusement, il semble bien que les récents conflits et leurs actes de barbarie suffisent à nous faire comprendre que chaque guerre, chaque conflit apporte son lot d’atrocité !!!

Je pensais que les images rapportées des camps de concentration Allemands entre 1939 et 1945 auraient un impact suffisamment fort pour calmer les ardeurs des plus fous et changer bon nombre d’esprits ces dernières décennies !!

Fort est de constater que non. Les événements depuis un an survenu en Syrie nous démontrent que la barbarie est rentrée dans les mœurs et, qu’à ce jour, aucun élément de langage n’est assez efficace pour calmer les ardeurs de ceux qui se font fort de torturer et faire couler le sang et les larmes !!!

« On ne pourra pas dire qu’on ne savait pas » résume parfaitement ma pensée ces derniers temps… tellement je suis horrifié par l’ampleur que prennent non pas les exactions, mais la haine et les gestes de défiance à travers le monde… la corruption, les inégalités sociales, les égos disproportionnés, les idéologies grandissantes totalement en opposition avec la réalité des mœurs et fondamentaux sociétaux, politiques et économiques.

Quand un certain président de la république prend la parole pour nous dire qu’il est fier d’une union et unité nationale partagée, je reste encore à ce jour très interrogatif face à ce constat.
- Pour un smartphone ou un Iphone, on viole ou on tue… pour le voler
- Pour une querelle de voisinage, on tue et j’en passe tellement la liste est longue !!!!

Reste néanmoins une solution qui a fait ses preuves et qui marchent en toute circonstance, toutes situations : pensez à faire le bien autour de vous à chaque fois que vous le pouvez, le bonheur est un bien et un espace personnel irremplaçable !!!!


Pour le reste de l'actualité, c'est à suivre...

Grèce….
Bien, la seule chose qui fasse écho en moi est la suivante après l’annonce des élections Grecs: est-ce une bonne ou une mauvaise réponse au chao économique Grec d’abord et Européen ensuite ??
Pour ma part, je n’ai aucune réponse, tant la classe politique dans son ensemble me semble décalée et, pour tout dire largué, fasse aux enjeux qui menacent le monde actuellement.
Les marchés ont même salué avec une certaine morosité l’arrivée de la gauche radicale au parlement Grec… et pour tout dire, l’état de grâce aura duré moins de 48h00 : « les banques grecs ont perdu 50% de leurs valeurs, la bourse d’Athènes s’est effondrée et un défaut de paiement n’est pas exclu »… voilàvoilà !!!




Entreprise…
Intrinsèquement lié au problème du chômage, l’entreprise reste un phénomène moral inconnu en France.
Souvent décrié pour son amour pour le pouvoir et l’argent, on oublie que c’est l’entrepreneur et le chef d’entreprise qui sont le moteur et le poumon économique d’un état, d’une région, d’une ville… l’image du secteur privé, du savoir faire technologique et la réputation des entrepreneurs fasse à la prise de risque sont un atout nécessaire et indispensable à la création de valeurs et de richesses…


Musique :
Fan du groupe dans les années 80, Simple Minds fait enfin son grand retour avec l’album Big Music…personnellement, je ne m’en lasse pas de ce dernier opus !!!

Revue de presse en partenariat avec Chabadda Magazine

mercredi 28 janvier 2015

La Grande-Bretagne vit-elle vraiment un miracle économique?

"Le Royaume-Uni a publié mardi 27 janvier une croissance de 2,6%, battant largement les autres grandes économies de l'Union européenne. Mais comment interpréter ce chiffre? Eléments d'explications avec l'économiste de l'OFCE, Catherine Mathieu."

La locomotive britannique n'en finit plus d'accélérer. Mardi 27 janvier, l'Office national des statistiques (ONS), l'Insee britannique, a publié sa première estimation de croissance pour l'ensemble de l'année 2014.

Il en ressort un chiffre de +2,6% qui rendrait jaloux beaucoup de pays européens.

De bon augure pour le Premier ministre britannique David Cameron qui, cette année, va faire face au vote des électeurs avec une élection générale programmée pour mai prochain.

Mais ces 2,6% de croissance annuelle représentent-ils une véritable performance pour l'économie britannique? Eléments de réponse avec les éclairages de Catherine Mathieu, économiste à l'OFCE et spécialiste du Royaume-Uni (BFMBusiness).

Le bénéfice de Boeing s’envole

"L’avionneur américain a nettement dépassé les attentes l’année passée, enregistrant un bénéfice de 5,44 milliards de dollars. Malgré tout, les prévisions pour 2015 sont plus prudentes."


Même s’il a traversé quelques zones de turbulences, Boeing se porte à merveille.

L'avionneur américain a en effet nettement dépassé les attentes en 2014, année marquée par la meilleure performance commerciale de son histoire.

L'an dernier, Boeing a ainsi enregistré un record de livraisons avec la montée en puissance du "787" Dreamliner, son avion nouvelle génération construit avec une forte proportion de matériaux composites et entré en service en 2011.

Il dispose également d'un carnet de commandes record (5.789, soit plus de sept années de production).

Lire la suite (BFMBusiness): 90 milliards de chiffre d'affaires, plus prudent pour 2015"

mardi 27 janvier 2015

Pour atténuer les dégâts du franc fort, la Suisse autorise le recours au chômage partiel

"Le ministre de l'Economie helvète a décidé d'autoriser le versement d'une indemnité dès lors que le franc fort impose une réduction de l'horaire de travail. La Suisse tente ainsi d'éviter les licenciements qui pourraient découler d'une chute des exportations."


La Suisse se mobilise pour éviter les licenciements que l'envolée de la monnaie nationale risque de causer.

Le ministre de l'Economie, Johann Schneider-Ammann, a ainsi autorisé mardi 27 janvier le versement d'une indemnité en cas de réduction de l'horaire de travail motivée par des variations de change, rapporte l'AFP citant une source officielle à Berne.

La Suisse avait déjà recouru à cet instrument pour faire face à la crise financière de 2008. 

Lire la suite: Une hausse "extraordinaire" qui justifie des mesures exceptionnelles

Allemagne : le salaire minimum n'affecte pas la baisse du chômage pour le moment

"Malgré le salaire minimum introduit au 1er janvier par le gouvernement d'Angela Merkel, le chômage continuera de baisser dans les trois mois à venir, selon un indicateur."


L'introduction en Allemagne d'un salaire minimum généralisé le 1er janvier 2015 suscitait des préoccupations.

Mais, tous comptes faits, dans les mois à venir, la réforme ne devrait pas avoir d'effets négatifs sur le marché du travail, a indiqué mardi 27 janvier l'institut de recherche sur l'emploi IAB.

Le sondage mensuel de l'IAB, qui est rattaché à l'Agence fédérale pour l'emploi, sert d'indicateur avancé sur le chômage. 

Lire la suite: "Pour le moment il n'est pas à prévoir que le salaire minimum remette en question l'évolution positive sur le marché du travail."

High-tech : les fusions-acquisitions au plus haut depuis 14 ans

"Avec plus de 3.000 transactions dans le secteur de la high-tech, l'année 2014 enregistre le montant de fusions-acquisitions le plus élevé depuis la bulle "dot com" de l'an 2000. Mais cette année, les valorisations sont bien "réelles", affirme l'étude EY." 


Le secteur des nouvelles technologies a battu son record mondial de fusions-acquisitions depuis l'éclatement de la bulle Internet.

Il s'agit d'un record autant en valeur qu'en volume de transactions.

Ainsi, au cours de l'année 2014, 3.512 transactions ont été conclues, pour un montant total de 237,6 milliards de dollars, soit 211,8 milliards d'euros (selon l'étude du cabinet EY publiée le 27 janvier 2015).

Lire la suite: Quatre domaines porteurs, des évaluations financières "réelles", une année 2015 "robuste"

samedi 24 janvier 2015

Purism Aims To Build A Philosophically Pure Laptop

"Purism Librem 15 is a laptop that is not free as in beer but it is instead free as in “absolutely free and open and uncontrolled by outside forces ensures complete control of every aspect of the hardware at all times.” And that’s a good thing. "

Created by Todd Weaver, the laptop is being funded on CrowdSupply and has already hit $270,000, surpassing its $250,000 goal.

An early bird unit costs $1,849 and comes with 4GB memory and 500GB hard drive space.

Essentially it’s a solid laptop running, according to Weaver, “fully free/libre, no mystery software Trisquel GNU/Linux operating system.”

“Painstakingly selecting every single component that goes into the Librem 15 laptop, Purism ensures they all will operate with free/libre and open source software within the kernel, the operating system, and all software applications,” he wrote.

Read more: "The campaign ends in eight days and is fully funded. Weaver has sold 500 laptops so far and it looks like a very fun and secure way to use free/libre software"

Europe Watches as Greeks Vote for More Reform or Defiance

"Greek voters go to the polls today in an election that will determine whether the country that triggered the debt crisis in 2010 holds to the path of economic reform or challenges its creditors and sets a precedent for all Europe."

The election contest pitches Prime Minister Antonis Samaras’s New Democracy against opposition leader Alexis Tsipras’s Coalition of the Radical Left, or Syriza.

Tsipras has pledged to win a writedown of Greek debt and to abandon budget constraints that were imposed in return for aid, goals which Samaras says risk Greece’s expulsion from the euro area

Governments from Berlin to Madrid by way of the European Union’s headquarters in Brussels are watching to see which argument prevails.

With Syriza extending its lead in the final days of the campaign, polls suggest Tsipras’s message of change is resonating more with voters wearied by the Greek economy’s contraction by a quarter and record unemployment.

Read more: "Bonds and stocks rallied in Athens on Friday, the last trading day before the vote, as the European Central Bank’s new bond-buying program offset investor concerns at the election outcome."

Bankers can't improve 'behind a prison cell': CEO

"The more things change...leaders debate post-crisis role of banks"

As another World Economic Forum comes to a climax, global leaders remain at odds over the role of financial regulation, and whether the industry has learned from the mistakes of the past.

In a CNBC hosted seminar on the last day of the Davos event, Katherine Garrett-Cox, the CEO of investment and savings business Alliance Trust told an audience that 2015 will be a definitive year for the industry and wanted leaders to "step right up to the plate up" and "stop talking about stuff and actually start doing stuff."

She added: "There is so much more we can accomplish, but we can't do that behind the bars of a prison cell."

Garrett-Cox believes that finance hasn't seen much of a culture change since the global financial crash of 2008, and said that the "bigger have got bigger" by virtue of some banks failing.

Therefore, she argued there is an increased the risk of another financial crisis.

Why we're still waiting for a banking 'culture shock' The CEO said that 2015 would be the ultimate test on whether public-private partnerships actually work, and called on business leaders to realize that they have to be more "socially useful," as she put it.

Read more: "It was the behavior of a few that have tarnished of many, there are a number of people that are doing really good work. But at the end of the day my frustration is that it's not happening fast enough,"

Davos: Land of the $43 hot dog and $55 salad

"How much? $43 hot dogs at Davos... Brother, can you spare $100...for lunch?"

Full of global leaders, policymakers, business gurus and the odd music star, the attendees at the World Economic Forum (WEF) at Davos aren't short of a dollar or two.

But they might well be at the end of the week—with some of the food prices around town proving to be a little hard to stomach.

At the posh Steigenberger Grandhotel Belvédère, a conference hotspot, even humble menu items can be astronomically pricey.

A hot dog with pickles, fried onions and mustard is priced at 38 Swiss francs (about $43.50).

It's 48 Swiss francs for a chicken Caesar salad with parmesan (about $55).

Separately, a draft beer at a local restaurant, in a pint-sized glass, can cost 6.50 Swiss francs, about $7.50.

Some items seemed priced just for the billionaires floating around WEF but it's a very different mood in the nearby shopping promenade.

Read more: Davos is primarily a town for tourists. Outside of the World Economic Forum's week, people flock to ski and stay at the hotels and the ski chalets

#CestVotreArgent: Comment transmettre son patrimoine à ses descendants ?

C’est votre argent, présenté par Marc Fiorentino, sur BFM Business. – 23/01

Comment transmettre son patrimoine à ses descendants ?

Sommaire:
La transmission du patrimoine a été le sujet débattu par

Invités:
- Arlette Darmon, présidente du groupe Monassier,
- Mai Trinh-Brunswick, directrice de la Clientèle Privée chez Crédit Suisse,
- Pascale Baussant, conseillère en gestion de patrimoine chez Baussant Conseil. -

C’est votre argent, du 23 janvier, présenté par Marc Fiorentino, sur BFM Business.

#CestVotreArgent: On rejoue la semaine, Le Brésil / Bolloré - 23/01

C'estVotreArgent, présenté par Marc Fiorentino, sur BFM Business.  - 23/01


Au sommaire:
- On rejoue la semaine avec l'enjeu des législatives grecques, la croissance chinoise, le prix de l'once d'or et les annonces de la BCE.
- On achète ou on vend: le Brésil et la valeur Bolloré.

Invités:
- Alice Lhabouz, présidente de Trecento AM,
- Laure Closier, journaliste à BFM Business,
- Jean-Pierre Gaillard, président du conseil surveillance Erasmus Gestion,
- Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste économique à BFM Business

C'est votre argent, du 23 janvier, présenté par Marc Fiorentino, sur BFM Business.

jeudi 22 janvier 2015

What Draghi’s Bond Buying in Europe Means for U.S. Debt Markets

"The European Central Bank’s resolve to funnel more than a trillion dollars into the region’s capital markets may be a boon for borrowers across the Atlantic."

ECB President Mario Draghi unveiled a bond-purchase program to ward off signs of deflation threatening to engulf the euro area similar to the exercise undertaken by the Federal Reserve six years ago.

The infusion aimed at boosting asset prices may prompt investors to shift money into U.S. corporate bonds, which offer the most yield relative to company debt in Europe in a decade. 

“Yield differential in U.S. and Europe is significant now and this ECB move will further help European corporates rally,” Scott Service, a Boston-based money manager who helps oversee $39 billion in Loomis Sayles & Co.’s global bond strategies, said in a telephone interview. “This could cause some global investors to favor the U.S. market over Europe.”

Read more: The average yield on U.S. investment-grade bonds exceeds European high-grade debentures by 1.9 percentage points, Bank of America Merrill Lynch index data show.

Bloomberg Viadeo: Larry Fink: The Market Should Not Doubt Draghi

BCE : un assouplissement quantitatif, faute de mieux

"Avec les mesures annoncées ce jeudi 22 janvier, Mario Draghi a pris des mesures peut-être moins ambitieuses qu'il n'y paraît."

Une fois passés l'enthousiasme et la confusion entre les montants (50 milliards de rachats mensuels de titres souverains, soit un total de 60 milliards compte tenu des opérations déjà annoncés), il convient de remettre en perspective la décision de la BCE de ce 22 janvier de lancer un programme ambitieux d'assouplissement quantitatif (QE).

L'annonce de ce jeudi est un chef d'œuvre de marketing. Mario Draghi devrait absolument ne pas décevoir des marchés qui avaient beaucoup misé sur un QE d'au moins 1.000 milliards d'euros.

En insistant sur le chiffre de 60 milliard d'euros mensuels, Mario Draghi a clairement donné l'impression d'un montant « gonflé » par rapport aux informations parues mercredi dans la presse anglo-saxonne de 50 milliards d'euros mensuels.

En réalité, le chiffre était bien le même puisque les 60 milliards d'euros incluent les 10 milliards d'euros de rachats de crédits titrisés (ABS) et d'obligations sécurisées déjà annoncées.
Les rachats supplémentaires de dettes souveraines seront donc bien de 50 milliards d'euros. 

Lire la suite: Répondre aux marchés, l'occasion manquée de la mutualisation

Groupama Banque se lance dans le « crowdfunding »

"Groupama Banque compte prêter 100 millions d’euros en quatre ans à des TPE françaises via la plateforme de « crowdfunding » Unilend."

Encore balbutiant, le financement participatif en direction des petites entreprises devrait prendre une ampleur nouvelle en France.

Groupama Banque veut en effet prêter 100 millions d’euros au cours des quatre prochaines années à des TPE en quête de financement sur la plate-forme de « crowdfunding » Unilend.

C’est la première fois qu’un établissement bancaire noue un tel partenariat.

« Je considère qu’il n’y a pas de compétition entre une banque et une plate-forme de “crowdlending” », déclare Bernard Pouy, directeur général de Groupama Banque.

L’intérêt de l’assurbanquier est évident à plus d’un titre. « Notre objectif est de nous adresser à une clientèle que nous n’arrivons pas à toucher dans le dispositif actuel de Groupama Banque », explique-t-il.

Deuxième source de motivation, les perspectives de rendement sont très attractives. « Sur Unilend, le taux d’intérêt moyen pour un prêt est d’environ 9 % », détaille Nicolas Lesur, cofondateur du leader français du « crowdfunding ». « Ces taux sont supérieurs à ceux que nous accordons aux emprunteurs dans notre réseau », souligne Bernard Pouy. 

Lire la suite: « Fédérer une variété de prêteurs »

Lagarde on European QE: It's already working

"The World Economic Forum in Davos has many different topics on the agenda, but this year it coincides with a hotly-anticipated announcement by Mario Draghi, the president of the European Central Bank (ECB)."

As part of the ECB's attempts to stimulate the deflation-hit euro zone, Draghi's press conference at 13:30 GMT, with a rate decision due at 12:45 GMT, is widely expected to be the moment the bank's Governing Council launches some form of government bond-buying.

And with some of the most powerful people on the planet all meeting in a conference center in Switzerland, quantitative easing (QE) is one of the hottest topics of the week.

Christine Lagarde, managing director of the International Monetary Fund (IMF), said on Thursday that expectations of a bond-buying program in Europe had already had an effect.

Read more: "To a point you can say that it has already worked," Lagarde said on a panel in Davos.

mercredi 21 janvier 2015

Swiss Central Banker Jordan Finds Refuge Among Global Friends in Alps

"Swiss central bank President Thomas Jordan may be finding refuge in the Alpine resort of Davos."

Almost a week since roiling financial markets and drawing the ire of international investors by unexpectedly scrapping a three-year cap on the Swiss franc versus the euro, Jordan, 51, won support today from a string of former central bankers at the World Economic Forum.

The SNB did the right thing,” said Axel Weber, 57, former Bundesbank president and now chairman of UBS Group AG. “Better an end with a shock, than shocks with no end.” 

Jordan’s decision was branded everything from “idiotic” to “brave” after the Swiss National Bank’s move to abolish the ceiling on Jan. 15 sparked a 41 percent surge in the franc versus the euro.

The aftershocks triggered hundreds of millions of dollars in losses at European banks, wiping out currency firms from New York to New Zealand.

Read more: The announcement was all the more unexpected because, two days earlier, SNB Vice President Jean-Pierre Danthine re-affirmed the currency cap as a “pillar of our monetary policy.”

Terrorism, Russia Conflict Are Top Market Threats in Global Poll

"Terrorism and the Russia-Ukraine conflict are the biggest geopolitical threats to world markets, according to a Bloomberg Global Poll of investors, analysts and traders."

Asked which of nine possibilities posed the greatest risk to financial markets, twenty-six percent of respondents singled out global terrorism, the same percentage that said the conflict in eastern Ukraine between government troops and separatist rebels was the top threat.

Fifty-two percent of Bloomberg subscribers polled said that the threat to markets from geopolitical instability is rising, up from 46 percent in November.

Only 4 percent forecast a drop, according to the quarterly survey.

Thirteen percent of participants said hacking and the vulnerability of major companies to cyber-crime was the top risk, followed by the rise of Islamic State at 9 percent, South China Sea tension and the effects of climate change at 6 percent each.

Read more: Terrorism, Russia Conflict Are Top Market Threats in Global Poll

Don’t Worry About China Growth Slowdown, Premier Li Tells Davos

"China will avoid a hard landing and is focused on ensuring long-term medium-to-fast growth, Premier Li Keqiang told global leaders in Davos, after the country reported the slowest expansion since 1990."

While the economy will still face large downward pressures in 2015, China won’t have systemic financial risks and will seek to improve the quality of growth to ensure an “appropriate” pace of expansion, Li said Wednesday in a speech at the World Economic Forum in the Swiss ski town.

The comments came a day after China reported 7.4 percent growth for 2014, the slowest in 24 years and the first failure to meet the target this century.

At the same time, the $10 trillion economy has shown signs of rebalancing with the rise in incomes exceeding the bump in GDP, helping propel consumer spending and services.

“China has much room for urban, suburban and regional development, and domestic demand has huge potential,” Li said.

“China’s condition will continue to improve and China will bring more opportunities to the world if China’s economy keeps growing at medium to fast speed for 10 to 20 years.”

Read more: Li reiterated that China will pursue a prudent monetary policy and proactive fiscal policy.

Stocks gain for third day; longest win streak of 2015

"U.S. stocks advanced on Wednesday, with Wall Street's volatility unabated, as investors largely adopted the view that the European Central Bank would implement a large-scale bond-purchasing program."

- UnitedHealth Group rose after posting a better-than-expected fourth-quarter profit;
- International Business Machines fell after the Dow component offered a tepid outlook;
- Netflix gained after the supplier of streaming videos reported earnings that beat estimates.

Multiple news outlets quoted sources in reporting the ECB's executive board had proposed monthly bond purchases of roughly 50 billion euros in a quantitative easing program that would last at least a year.

"That gets you to 600 billion euros, which is north of expectations, so if in fact the source is credible that's enough to have markets reacting positively; buy the rumor and sell the news,"

Read more: For every three shares falling, roughly five rose on the New York Stock Exchange

Le décrochage de l'Italie : un vrai risque pour la zone euro

"La Tribune publie chaque jour des extraits issus des analyses diffusées sur Xerfi Canal. Aujourd'hui, le risque pour la zone euro du décrochage italien."

La chute de Fiat, c'est le symbole du décrochage de l'Italie. Une descente aux enfers dont rend compte parfaitement l'effondrement de la production nationale de véhicules particuliers.

Une production passée de 2 millions d'unités au début des années 90 à moins de 500 000 aujourd'hui. 

Et si la grande récession est passée par là, l'explication est trop courte car la chute de la production la précède. C'est la marque d'un pays qui souffre depuis longtemps d'une productivité insuffisante vis-à-vis de ses principaux concurrents européens et d'une reconversion industrielle avortée.

Or en Italie, comme en Allemagne, tout passe, plus qu'ailleurs, par l'industrie avec cette différence, l'Allemagne c'est le royaume des entreprises de taille intermédiaires, l'Italie celui de la petite entreprises.

Les PME et les micro-entreprises forment en effet la quasi-totalité d'un parc fort de plus de 6 millions d'entreprises, deux fois plus que celui de la France.

Lire la suite: L'Italie c'est 6 fois la Grèce et ses 360 milliards d'endettement

mardi 20 janvier 2015

Obama Pushes for Trade Support, Warns on China

President Barack Obama made a broad appeal to skeptics of his trade policy, arguing that a failure to enact a deal under negotiation with Pacific partners would play into the hands of China.

 “China wants to write the rules for the world’s fastest-growing region,” Mr. Obama said in his State of the Union address Tuesday. “We should write those rules.”

Still under negotiation, the Pacific agreement would set rules for everything from the environment to drug patents, and cover nations with about 40% of global economic output and a third of world trade. The U.S. also is working on a trade deal with the European Union.

Mr. Obama is working to build support that has been elusive so far among Democratic lawmakers. 

Members of the administration have privately been using the specter of Chinese economic dominance for at least a year to win support for the Trans-Pacific Partnership, or TPP, a trade bloc under negotiation that would include Japan and 10 other Asia-Pacific countries but not China.

Read more: Officials recently have grown more outspoken with the argument, using it to win support for legislation that eases congressional passage of trade deals negotiated abroad.

Twitter rachète la start-up indienne ZipDial

"L'opération tourne autour de 30 à 40 millions de dollars. Le célèbre réseau social doit trouver dans cette entreprise indienne un accès au marché du marketing sur mobile."

ZipDial a officiellement tapé dans l'œil de Twitter. Le réseau social américain vient d'annoncer l'acquisition de cette start-up indienne, spécialisée dans le marketing mobile.

Il aurait dépensé entre 30 et 40 millions pour mettre la main sur cette société.

Twitter va ainsi reprendre les équipes et les locaux de la société basée à Bangalore, capitale de la high-tech en Inde.

 La directrice générale de ZipDial, Valerie Wagoner, a qualifié l'opération de "grande réussite".

"En nous alliant à Twitter, nous avons une opportunité exceptionnelle de développer sur une échelle mondiale tout ce que nous avons construit", a expliqué Valerie Wagoner, dans un communiqué.

La plate-forme ZipDial développe notamment des applications permettant de recevoir sur son téléphone des offres marketing de la part de grands groupes.  

Lire la suite: Gillette, Yum! ou IBM comptent parmi les clients de la jeune pousse indienne.

#MonOeil « Mais qu’est-ce qui se passe ??? », l’actu vue par Alexandre Aufauvre, du 03 au 15 Janvier

Revue de presse en partenariat avec Chabadda Magazine

Dur de me mettre à table pour rédiger une revue de presse ces derniers jours tant l’émotion m’a submergée en ce 08 Janvier 2014.

Comme beaucoup d’entre vous, une majorité si j’ai pu m’en rendre compte par l’ampleur du mouvement « JeSuisCharlie » qui s’est imposé spontanément après l’attentat perpétré au siège de Charlie Hebdo, bien plus que l’engouement suscité après l’attentat, la mort des caricaturistes a été une rude épreuve pour moi. Etant un lecteur régulier des magazines « FluideGlacial » ou « Charlie Hebdo », c’est une partie de ma culture qui s’est effondrée…

Quelle réponse donner aujourd’hui à cet événement ? Personnellement, je n’en ai aucune idée !!! 30 ans, voir plus, de clientélisme politique, nous a conduis dans une impasse sociale, sociétale, culturelle, idéologique, structurelle et conjoncturelle !!

Et ne disposant pas (n’ayant pas accès) a toutes les informations traitées en haut lieu, je ne peux pas faire état de tout…

Bref, ma réflexion aujourd’hui porte sur le constat suivant : plus de 3000 policiers mobilisés pour stopper la course folle de 3 djihadistes motivés, quels moyens la société va-t-elle devoir mettre en action pour stopper la flambée de violence qui commence à germer le dans le monde musulman ?? Plus d’une génération (depuis les années Miterrand) qui pose la question de la laïcité, de l’héritage culturel et cultuel... est-ce que les autorités religieuses seront suffisamment puissantes pour trouver les bons mots et apaiser les esprits ?

La politique politicienne et les basses tactiques peuvent-ils encore être un modèle social et culturel récurrent ?
De plus, aujourd’hui avec le massmédia et les réseaux sociaux, l’info contamine rapidement l’espace public, et les retentissements sont quasi instantanés à l’échelle mondiale.

Et son impact divise aussi vite qu’il rassemble, compte tenu des différences de cultures qui s’opposent de plus en plus à travers le monde.



La classe politique dans son ensemble joue la carte du choc et du soutien. Pour tout dire, je ne sais ce qui m’a le plus choqué de sa part d’ailleurs.

Est-ce la preuve de son incompétence qui aura tout de même coûté la vie à plus d’une dizaine de personnes, ou la récupération médiatique qu’ils en ont fait les jours qui ont suivi.
De plus, je reste très septique quand je vois l’ébullition que provoque la suite de la parution du journal Charlie Habdo.
Même si la liberté d’expression doit être défendue (elle est suffisamment bafouée dans de nombreux pays), peut-on pour autant ne pas sérieusement prendre en compte le malaise que suscite des caricatures jugées comme provocantes auprès de populations significatives ??
Un nouveau débat est ouvert, surtout quand il s’agit de populations civiles…



Economie : Les Suisses font une rentrée 2015 fracassante… Le bonheur des administrations.
La Banque Nationale Suisses (BNS) à offert aux marchés financiers, notamment à la place de paris et au CAC40, un Krack boursier comme on en avait pas vu depuis un petit moment.
En retirant le droit de plancher, qui permettait au franc suisse de conserver son niveau d’échange avec les autres devises internationales à 1.20chf, s’est vu offrir la possibilité de suivre le niveau souhaité par les marchés.
Résultat des courses : après un plongeon de plusieurs points (short) provocant la faillite, voir la ruine de nombreux traders spéculant sur le Forex, le cac40 a fini par rebondir de plus de 200 points en ½ heure…
La leçon à en tirer : seul le marché à raison dans ce monde cruel et virtuel des marchés financiers, et les acteurs majeur ne sont pas forcément les mieux intentionnés !!!



Entrepreneurs : La loi Macron s’installe progressivement petit à petit dans le paysage économique Français. Pour un certain nombre de commentateurs, il s’agit d’un tournant significatif dans l’histoire de l’entrepreneuriat. Du nom du ministre de l’économie, que va-t-elle offrir aux entrepreneurs…

Imaginée à l’origine pour permettre d’assouplir le travail le dimanche, elle doit également intervenir sur les professions réglementées. Mais comme tout n’est jamais simple en France, de nombreux points de divergences risquent d’émailler le débat qui s’annonce entre les différents corporatismes qui s’opposent. 30 ans de non réformes et un code du travail de 3000 pages ne se transforment pas par décision d’un ministre. Personnellement, les réformes du travail en France, je n’y crois plus… trop d’acteurs à convaincre !!!



Musique : j’avais déjà mis à l’honneur son single « Loud » dans un article précédent.
Je tenais simplement à saluer la sortie du très bon premier album de Corson, « The Raimbow », depuis le 12 Janvier dans les bacs.

Revue de presse en partenariat avec Chabadda Magazine

lundi 19 janvier 2015

Japan Wants to Be a Peace-Builder, But Keeps Irritating Its Neighbors

"Prime Minister Shinzo Abe is promoting Japan as a postwar peace-builder as he tests the waters for a statement marking the 70th anniversary of its World War II defeat that risks irritating China and South Korea."

Japan has taken an “unwavering path” of peace since the war, Abe said in Cairo on Jan. 17 in his first overseas speech of a year set to be overshadowed by history.

In India, Foreign Minister Fumio Kishida talked of Japan’s plans to contribute to global security

Abe has said he upholds previous statements of contrition on the 50th and 60th war anniversaries and will make a new declaration in August.

Shifting the focus to the postwar period may provoke anger from Asian neighbors just months after Abe held his first summit with Chinese President Xi Jinping and as the two nations restart maritime talks.

Read more: Territorial disputes and disagreements over Japan’s occupation of large parts of Asia in the first half of the 20th century have caused fractious ties with China and South Korea.

Chinese Growth at 7.4% Is the Slowest Since 1990

"China’s stimulus efforts began kicking in late last year, boosting industrial production and retail sales, and helping full-year economic growth come close to the government’s target. The yuan and local stocks rose."

Gross domestic product rose 7.3 percent in the three months through December from a year earlier, compared with the median estimate of 7.2 percent in a Bloomberg News survey.

GDP expanded 7.4 percent in 2014, the slowest pace since 1990 and in line with the government’s target of about 7.5 percent. 

A soft landing for China would help a global economy contending with weakness that spurred the International Monetary Fund’s steepest cut to its world growth outlook in three years.

China’s central bank cut interest rates for the first time in two years in November and has added liquidity in targeted steps to buoy demand.

Read more: “The economy’s performance in 2014 stands out against the widespread hard-landing fears that prevailed early last year,”

Le piège se referme sur les Français qui ont emprunté en francs suisses

"Ils sont environ 6000 à avoir contracté un prêt en devises helvétiques, en 2008 ou 2009. Avec la forte appréciation du franc suisse, le montant du capital qu'ils ont emprunté a augmenté de près de 50% !"


«Depuis ce matin, je n'arrête pas de recevoir des appels de clients paniqués», constate Charles Constantin-Vallet, avocat d'un peu plus de 300 clients de BNP Paribas ayant contracté des prêts immobiliers libellés en francs suisses.

La décision de la banque centrale hélvète (BNS) de ne plus intervenir sur les marchés pour empêcher l'appréciation du franc impacte en effet directement les quelques 6000 petits investisseurs qui ont souscrits à de tels prêts, en 2008 ou 2009: le capital qu'ils ont emprunté s'apprécie dans les mêmes proportions que la monnaie helvétique, c'est-à-dire de 20% depuis hier, et même de 65% depuis le début de l'année 2008. 

«Concrètement, jusqu'à hier, une personne qui avait emprunté 100.000 euros il y a cinq ou six ans devait encore rembourser environ 130.000 euros, alors même qu'elle avait déjà payé 30.000 euros!

Et depuis hier, son capital restant dû a encore grimpé, à plus de 155.000 euros.
Cela peut s'avérer dramatique pour certains clients», explique Charles Constantin-Vallet.

La plupart ont emprunté entre 130.000 et 150.000 euros sur un vingtaine d'années, et se retrouvent à devoir aujourd'hui rembourser entre 200.000 et 220.000 euros.


Lire la suite: Le produit financier de BNP Paribas, Helvet Immo, représente 4600 des 6000 prêts octroyés en francs suisses à des résidents français. Il est conçu de telle façon que les mensualités restent fixes, quelle que soit la variation du franc.

dimanche 18 janvier 2015

"Il était incohérent d'arrimer le franc suisse à l'euro"

"Au lendemain de la décision soudaine de la Banque centrale suisse de changer sa politique monétaire, Nathalie Janson, professeur associé en économie à Neoma Business School, analyse les conséquences de cette décision. La politique de cours plancher du franc suisse menée depuis trois ans, n'était pas cohérente avec le statut de valeur refuge de la devise suisse, estime cet économiste" 

La politique de plancher du franc suisse n'était pas compatible avec le statut de monnaie de réserve de cette devise.

Lorsqu'une monnaie arrimée à une autre, puisque c'était bien de cela dont il s'agissait jusqu'à hier, la politique monétaire devient tributaire des fluctuations monétaires que vous ne maîtrisez pas.

En l'occurrence, la BNS avait décidé d'arrimer sa devise à l'euro, et devait donc intervenir régulièrement pour des raisons qui ne concernaient pas l'économie suisse

En trois ans, cet interventionnisme monétaire a coûté plus de 200 milliards d'euros à la BNS si bien que son bilan atteint aujourd'hui 90% du PIB suisse.

Lire la suite: La décision de la BNS pouvait donc être anticipée ?

Les smartphones d'aujourd'hui savent prendre de belles photos

"Même si pour les professionnels rien ne remplacera jamais un appareil photo classique de type argentique pour prendre de véritables photos artistiques, une situation qui a tout de même changée avec aujourd'hui de plus en plus de reflex numériques utilisés au quotidien par ces professionnels, il est inenvisageable de leur faire accepter qu'un smartphone puisse prendre de belles photos."

Référence dans le domaine, le numéro 513 de Photo Magazine pourrait-il changer les mœurs ?

 N'étant pas professionnels ni même amateurs avertis de cet art nous ne saurons répondre avec précision à cette question mais la chose que nous pouvons vous révéler est que la couverture de ce numéro a été réalisée avec un Nokia Lumia 930.

Photo du mannequin Nina Agdal prise le 14 décembre 2014 par markus&koala, même si nous ne sommes pas des experts du domaine on ne peut qu'admettre que le résultat est étonnant et ne laissent pas imaginer que le travail est issu d'un vulgaire smartphone

vendredi 16 janvier 2015

Market to European Central Bank: Size of QE matters!

"Earnings and economic reports all take a back seat to the European Central Bank in the holiday-shortened trading week ahead."

Investors are looking to the ECB to on Thursday announce a program of government bond purchases, or quantitative easing.

"The only thing that is important next week is the ECB meeting," Mark Luschini, chief investment strategist at Janney Montgomery Scott, said.

"The ECB is going to be the biggest driver next week, what they decide to do as far as rates and their QE should have a big impact on global markets,"

The markets are expecting a very impressive QE, a la United States, a la Japan.

Some investors may be playing both sides, and by that I mean playing for a big move. If they do come down with a big package, global markets will rally strongly, if they don't do much of anything, you could see markets fall apart," said Paul Nolte, senior vice president, portfolio manager at Kingsview Asset Management..

Read more: "There's a huge amount of anticipation, and a lot of volatility around this ECB decision on Thursday. It'll be a combination of what they say they're going to do, and their intentions after that,"

$9 million Ferrari, $374,000 pickup boost car auctions

"Sales and prices at the classic car auctions in Scottsdale, Arizona, have gotten off to a fast start, suggesting the car market remains strong despite the instability in global financial markets."

The Scottsdale sales, part of a multiday car-a-palooza that attracts thousands of fans and wealthy collectors, are expected to top $285 million this year, according to Hagerty, a collectible car insurance company.

Much of the attention is on muscle cars, which have been slow to recover from the recession but have surged in price over the past year.

But all makes of American cars and European racers have been selling at strong prices.

At Barrett-Jackson, a 1969 Chevrolet Camaro COPO 427 sold for $330,000, which was above its estimate.
RM Auctions sold a 1966 Shelby Cobra 427 for $990,000—right at its low estimate. A 1970 Chevrolet Chevelle SS 454 LS6 Convertible, which had a starting estimate of $225,000, sold for $225,500 with commission.

Read more: There were also some more surprising successes, especially in trucks.

#CVotreArgent, 16/01: Comment préparer sa retraite ?

"C'estVotreArgent", avec Marc FiorentinoBFM Business


Au sommaire:
Comment préparer sa retraite ?


Invités:
- Dominique de Noronha, directrice de la rédaction d'Investissement Conseils,
- Virginie Fancellu, associée chez Maximis Retraite,
- Hugues Magron, directeur conseil secteur Assurance et Protection Sociale chez Deloitte

ont livré quelques conseils pour bien préparer une retraite.

- C'est votre argent (part.1), du 16 janvier, présenté par Marc Fiorentino, sur BFM Business.
- C'est votre argent (part.2), du 16 janvier, présenté par Marc Fiorentino, sur BFM Business.

#CVotreArgent, 16/01 - On rejoue la semaine et On achète ou on vend: La Slovaquie / Laurent-Perrier

"C'estVotreArgent", avec Marc Fiorentino, BFM Business


Au sommaire:
- On rejoue la semaine avec le projet de loi Macron, la chute des prix du pétrole, la baisse de l'euro, le krach boursier en Suisse et les difficultés des brokers suite au mouvement violent de la parité EUR/CHF.

- On achète ou on vend: la Slovaquie et la valeur Laurent-Perrier.

Invités:
- Laure Closier, journaliste à BFM Business,
- Igor de Maack, gérant de DNCA Finance,
- Alain Pitous, directeur général adjoint de Talence Gestion,
- Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste économique à BFM Business.


C'est votre argent, du 16 janvier, présenté par Marc Fiorentino, sur BFM Business.

Bitcoin Will Fix Remittances With Or Without The Western Unions Of The World

"In the late 90s, as personal computers and the Internet were increasingly finding their way into American homes, there were those who either didn’t recognize the disruptive power or potential they would have, or they felt threatened by their emergence" 

We saw this again in the early 2000s, as companies like PayPal emerged and forever changed our willingness to pay people over the Internet; including paying complete strangers.

As PayPal quickly became ubiquitous and was changing the payments industry and commerce, most of the big banks and credit card associations stood pat and instead chose to fire off public lasers at PayPal, citing security, protections and regulatory hurdles as reasons PayPal would falter and was a risky proposition.

Unfortunately for them, what they should have been doing during that time was innovating and improving customers’ lives; doing so could have very likely eliminated the need for a PayPal to even exist.

Read more: Western Union, which discontinued the use of telegrams in 2006, has fired several shots in recent weeks aimed squarely at bitcoin specifically and digital currency generally.

Google Is In Talks With Softcard, The Mobile Payments Company

"Apple has Apple Pay, and now it looks like Google may be fattening up its own wallet. According to people familiar with the situation, the search giant and maker of Android is interested in buying Softcard, the mobile payments company formerly known as Isis."

The price may be under $100 million, according to our sources.

That is either a huge bargain or a testament to Softcard’s difficulties as an enterprise: sources tell us that AT&T, Verizon and T-Mobile (the three carriers that started Isis in 2010) have collectively invested hundreds of millions of dollars in the joint venture.

Softcard earlier this month laid off about 60 employees and has been in a consolidation phase.

The company would not comment on the M&A rumors or how much has been invested in the operation but provided a comment about the layoffs.

Read more: “Softcard is taking steps to reduce costs and strengthen its business. This includes simplifying the company’s organizational structure and consolidating all operations into its Dallas and New York offices, which involves layoffs across the company,”

Google Glass Never Really Had A Fighting Chance

"When Google announced it was ending the Glass Explorer program yesterday and handing over the reins to Nest’s Tony Fadell, it seemed to exit with more of a whimper than a scream." 

Let’s face it, from its earliest days, people loved to hate Glass. In fact, from the moment Google announced Glass, people reacted harshly to the new technology.

They simply hated the idea of nerds with computers on their faces who could take photos or videos surreptitiously. A new word, Glassholes, entered the popular lexicon to describe folks who wore Glass.

It didn’t seem to matter that we were in the public eye with smartphones all around us taking video and pictures. The idea of a wearable optical device seemed to rub folks the wrong way.

And Google encouraged a sense of elitism by creating the Glass Explorer program, an exclusive club where for the price of $1500, if you were chosen, you could own your very own Glass.

Read more: The Explorer program was really a stroke of marketing genius.