mardi 9 mai 2017

Economie, Emmanuel Macron : demandez le programme

A la base, j'attends déjà notre nouveau président sur la formation de son gouvernement, le choix de son 1er ministre. Homme ou Femme, peu importe. 
La tâche va être immense pour réunifier la France après le mandat calamiteux et catastrophique de Hollande.

Il aura beau communiquer efficacement, les Français attendront les seuls résultats qui les intéressent: le pouvoir d'achat et la sécurité.

Et si j'en juge par les commentaires que je peux suivre, soit sur le web, soit dans la vie réelle, l'ensemble veulent des retours significatifs dès la fin de l'année. 

Va falloir aller les chercher avec les dents et les tripes, si Macron ne veut pas voir les français dans la rue.

Plaire et rassurer. 

De la gauche radicale à la droite la plus conservatrice, Macron va devoir faire preuve de souplesse intellectuelle et trouver des/les arguments fiables et massues pour ouvrir le dialogue et trouver l'attention auprès d'une France aussi fragmentée.
Voici le plan d'action sur lequel je l'attends:
Il ne m'a pas convaincu durant la campagne, et comme je refuse de me fier au plan de com. qui tourne en boucle dans les média depuis son élection, je préfère attendre dans les faits ce qu'il proposera. A commencer par les 1ères nominations.

Bien à vous tous


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Emmanuel Macron entre dans le vif du sujet ce vendredi. 


Le candidat à l'élection présidentielle détaille sa politique économique s'il est élu. 




Dans les grandes lignes, il annonce à la fois 60 milliards d'euros d'économies sur le quinquennat, tout en promettant 50 milliards d'euros d'investissements publics.


Il fait de la lutte contre le chômage de masse sa priorité et juge possible de le ramener à 7% de la population active à la fin du quinquennat. Il plaide pour une relance économique européenne et plus d'intégration de la zone euro, avec un "vrai budget (...) piloté par un ministre de l'Economie et des Finances".
Mais il estime que la France doit prouver à l'Allemagne, dans les six premiers mois du quinquennat, qu'elle est un "partenaire de confiance" :  "Si nous n'avons pas une politique courageuse de réformes sur le plan structurel, les Allemands ne nous suivront pas", explique-t-il.

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